S’IMMERGER DANS LA DOUCEUR
Posez les mains sur le ventre pour ressentir ces déplacements (Il y a une part de sensation et une part de connaissance : on se représente en sensations ce que l’on sait qui se passe mais que l’on ne perçoit pas).
En contractant le périnée et en serrant le ventre, profondément, lentement, à l’expiration, je perçois, je comprends, que les viscères montent, poussant le centre du diaphragme vers le haut.
Puis je détends progressivement ventre et périnée. C’est l’inspiration. Par leur poids, les viscères redescendent, emmenant le centre du diaphragme vers le bas.
Une longue inspiration, mais sans forcer, en demeurant dans le confort.
En respirant avec le ventre, je berce mon cœur,
avec la même attention que si je portais dans mes bras un tout petit enfant.