Voici ces propositions :
Avec chaque expiration, je descends en moi-même
Le geste intérieur par lequel je commence et auquel je reviens sans cesse est celui par lequel je m’installe dans mon hara : avec chaque expiration, je me laisse glisser de la tête dans la cage thoracique puis dans le ventre et le bassin.
Durant l’inspiration, j’y demeure, je m’y pose, je m’y établis, je m’y repose.
Durant l’inspiration, j’y demeure, je m’y pose, je m’y établis, je m’y repose.
Je me laisse être élevé
Je ne m’élève pas moi-même. Bien au contraire, je me laisse peser. J’exerce ma force vers le bas, vers la terre. Je prends appui sur la fermeté du sol, à travers le banc.
J’ajoute à mon poids en exerçant, en permanence, juste ce qu’il faut de pression vers le siège pour sentir une force qui semble monter dans ma colonne vertébrale et qui me soutient de l’intérieur.
J’ajoute à mon poids en exerçant, en permanence, juste ce qu’il faut de pression vers le siège pour sentir une force qui semble monter dans ma colonne vertébrale et qui me soutient de l’intérieur.